Jack Hamm

« Énergie, sincérité et témérité. Ce sont les premiers mots auxquels on pense lorsqu’on parle de Jack Hamm. La première apparition sur scène de ce dernier remonte au 17 mars 2017, alors qu’il a performé au Centre Culturel La Perle Retrouvée, en collaboration avec l’équipe de production Oklos. Depuis ce temps, l’artiste natif de Terrebonne s’est spécialisé dans un style house et essaie de mener ce mouvement à son meilleur dans la communauté montréalaise.

 

Cette passion pour l'univers de la musique électronique est un sentiment que le public partage de façon à ne plus sentir ses pieds après une expérience passée avec M.Hamm. En effet, les performances jouées par ce dernier créent des souvenirs magiques et permettent à la foule de se libérer dans une danse où il n’y a aucune limite. On peut simplement penser à ce souvenir gravé en août 2021, lorsqu’il a fait sa première apparition SNDCHECK (0005). Les souvenirs de cette expérience (et la bravoure de M. Hamm face au danger) restent gravés dans la mémoire des participant·e·s du SNDCHECK0005.

 

Jack Hamm est passé par plusieurs festivals (Graduation/Arrivals) et de nombreux clubs dans la région de Montréal dont le Beach Club à Pointe-Calumet, Le Belmont, Le Général Sherman, le Skills, le Circus, le Newhaūs, le Mme Lee, et bien d'autres. Il a de plus performé à la première édition dOrigins Festival en 2021 et il sera de l’édition 2022. D’autres traces de lui sont signées dans la région du Bas-St-Laurent, du Centre-du-Québec et dans la région de l’Abitibi. Il a aussi laissé sa marque au Mexique à Isuju Tulum, un glam club faisant ressentir l’essence de Tulum à son plein degré.

 

Présentement aux études à temps plein en stratégies de production culturelle et médiatique à l’UQAM, l’artiste de 22 ans est motivé en ayant en tête plusieurs projets personnels et professionnels dans l’industrie de la musique. La musique électronique peut avoir selon lui un impact positif sur plusieurs enjeux de la société.

 

C’est enfin pour lui, un espace rassembleur mettant en valeur que du “good vibe”. »